Vous êtes un nouveau membre du comité directeur. Veuillez vous présenter brièvement.
Je représente la Conférence des offices AI ( COAI ) au sein du comité Compasso, où j'ai le rôle de vice-président et de responsable du domaine d'activité Intégration. Depuis plus de huit ans, ma fonction première est de diriger l'office AI des Grisons, qui fait partie de la SVA Graubünden, dont je suis membre de la direction. Auparavant, j'ai travaillé dans le secteur de la santé en tant que directeur d'une clinique psychiatrique. J'ai 48 ans, je suis marié, j'ai deux fils adultes et j'habite à Coire.
Quelle est votre motivation pour vous engager dans le comité directeur de Compasso ?
L'intégration professionnelle est mon activité principale. Compasso s'engage pour le maintien de l'emploi et la réinsertion professionnelle. Je considère que ma tâche consiste à apporter le point de vue, les possibilités et les limites de l'AI dans le travail du comité de Compasso.
De votre point de vue, quels conseils concrets pouvez-vous donner aux employeurs dans le domaine de la réadaptation professionnelle ou du maintien de l'emploi ?
Du point de vue de la COAI, j'aimerais donner le conseil suivant aux employeurs : L'AI vaut mieux que sa réputation. Dans le domaine de la réadaptation professionnelle justement, nous sommes plus rapides, moins bureaucratiques et plus orientés vers les solutions que ne le pensent de nombreux employeurs. Nous disposons de nombreux instruments efficaces pour maintenir les travailleurs sur le marché primaire de l'emploi ou pour les soutenir dans cette voie. Pour cela, l'AI a besoin d'employeurs qui sont également prêts à s'engager dans cette voie.
